Chaque jour, près de 6000 enfants et 700 adultes (enseignants, animateurs, personnels d'entretien..) prennent leurs repas dans un des restaurants scolaires de la ville.

Le nouveau marché attribué à la société Sogeres (déjà prestataire de la ville depuis janvier 2018), rentrera en vigueur le 1er janvier 2022 et se poursuivra jusqu'au 31 décembre 2025.

Le cahier des charges de ce nouveau marché a été pleinement travaillé en concertation avec le Conseil local des parents ; espace de participation citoyenne autour des enjeux éducatifs locaux.

Un nouveau marché encore plus écologique

• 50 % des aliments utilisés dans la confection des repas seront issus de l'agriculture biologique (labellisation AB ou équivalents), en privilégiant, dans la mesure du possible, les circuits courts ou directs.
• La montée en puissance du bio dans les assiettes des écoliers cergyssois s’effectuera progressivement tout au long de la durée du marché. Le bio passera ainsi de 25 % à 50 % d’ici 2025.
• À partir du 1er janvier 2022, l'usage du plastique sera proscrit dans l'ensemble des restaurants scolaires, avec à la place des barquettes biodégradables pour les plats chauds et froids.

Un nouveau marché encore plus qualitatif

Des exigences qualitatives et un suivi du marché resserré sont mis en place :

• Dégustation et audit des cuisines centrales afin de contrôler le respect des normes et la capacité du prestataire à faire face à ses engagements ;
• Obligation d'afficher les allergènes dans les menus et permettre une meilleure lisibilité pour les familles ;
• Maintien de l'offre actuelle de restauration : menus classiques, classiques sans porcs et petit complet ;
• Du poisson servi six fois par mois ;
• Un repas entièrement végétarien servi une fois au minimum par semaine ;
• Des fruits frais de première fraîcheur dans le respect de la saisonnalité ;
• Le pain, issu de l’agriculture biologique, frais et non congelé, produit localement et livré le jour même
• Dans le cadre de la lutte contre l'obésité, le prestataire proposera des animations pédagogiques auprès des classes (l'éducation nutritionnelle, l'éducation au goût, la lutte contre les gaspillages), avec l'intervention de ses diététiciens en lien avec les équipes de la ville.

Une innovation : le repas local

Enfin, dans les accueils de loisirs (ALSH), un repas sur trois, soit 8 000 par an, comprendra au moins 60 % d’aliments produis localement. Ceux-ci seront issus de la zone du Projet Alimentaire Territoriale Cergy-Pontoise/ Vexin Français.

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